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•> Merck avait la liste des médecins à neutraliser

•> Cervarix et Gardasil: soupçons de corruption

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Les vaccins Gardasil et Cervarix:

au cœur d’une affaire de corruption

qui éclabousse le prix Nobel


Source: Mondialisation.ca

De quoi s’agit-il ? La justice suédoise enquête sur un cas de corruption au sein de plusieurs comités Nobel dont celui de médecine.

Forte présomption de conflit d'intérêt et de corruption active
 
Conflit d’intérêt: " L’accusation la plus grave vise le groupe pharmaceutique anglo-suédois AstraZeneca, soupçonné, par la radio suédoise, [Sveriges Radio] d’avoir payé pour que l’allemand Harald zur Hausen, qui a découvert le papillomavirus (agent causal du cancer du col de l’utérus), reçoive le prix Nobel de médecine 2008, aux côtés des français Luc Montagnier et Françoise Barré Sinoussi (découvreurs du virus du sida). Le Pr Bo Angelin, du Karolinska Institute, membre votant du comité du prix Nobel de médecine, siège parallèlement au conseil d’administration d’AstraZeneca depuis le 25 juillet 2007. Selon le site Internet du magazine Scientific American, la firme lui a versé 30 000 dollars l’an dernier." [Le Figaro, 18/12/08]. De surcroît, le président du comité Nobel qui décerne le prix de médecine, Bertil Fredholm, a travaillé en tant que consultant pour AstraZeneca, comme le révèle Jean-Yves Nau dans Le Monde (18/12/08)
 
Corruption active: AstraZeneca sponsorise également deux sociétés " filiales " de la Fondation Nobel pour une somme estimée à plusieurs millions d’euros. Cet argent doit servir à vulgariser les Prix Nobel par des conférences, des documentaires et des contenus de sites Internet. Par l’intermédiaire de sa filiale américaine Medimmune, AstraZeneca perçoit des royalties (redevances sur la vente) des firmes Merck Sharp et Dome (pour le Gardasil) et Glaxo SmithKline (pour le Cervarix). La firme AstraZeneca avait donc tout intérêt à ce que le prix Nobel salue la découverte du chercheur allemand afin de renforcer le marketing des deux vaccins dont elle tire des bénéfices croissants. C’est une révélation sans précédent, car jamais l’intégrité du comité d’attribution du prix Nobel n’avait été remise en cause jusqu’à présent. Il a fallu que l’industrie pharmaceutique vienne dégrader l’image de cette prestigieuse institution, et qui plus est, avec en toile de fond le négoce de deux vaccins aussi nuisibles qu’inutiles ! Que valent, dans ces conditions, les travaux du Pr Harald zur Hausen sur l’origine virale du cancer du col de l’utérus ? Personne dans cette affaire n’est digne de confiance.

Gardasil et Cervarix: Astra Zeneca et la Fondation Nobel soupçonnées de corruption et conflits d’intérêts dans l’attribution du prix Nobel à Harald zur Hausen

Source: Pharmacritique

Le prix Nobel attribué à Harald zur Hausen est censé récompenser les recherches sur les papillomavirus, mais consacre surtout le triomphe des conflits d’intérêts qui entachent le Gardasil et le Cervarix depuis leur conception, et ce partout où des centres publics de recherche travaillent avec les firmes pharmaceutiques et adoptent les méthodes de ces dernières, au mépris de leur mission d'intérêt général.

J'ai parlé dans cette note du réseau tentaculaire de conflits d’intérêts par lequel Merck, Sanofi Pasteur MSD et CSL ont imposé le Gardasil et empêché un vrai débat sur l’utilité de ce vaccin et son rapport bénéfices – risques. Et les exemples concrets ne manquent pas.

La question des conflits d’intérêts se corse et se pose directement en termes de corruption, puisque c’est ce chef d’accusation qui est envisagé par le procureur Christer van der Kwast, de l’office suédois de lutte contre la corruption. L’affaire a été révélée par la Radio suédoise (Sveriges Radio) et par le journal Dagens Medicin, que nous citerons plus loin, et ce à peine deux jours avant la remise officielle des prix, qui a eu lieu le 10 décembre. La lauréat Harald zur Hausen, qui se disait déjà énervé par la contestation des 13 médecins et scientifiques allemands signataires d’un manifeste critique contre le Gardasil (voir cette note), a maintenant des raisons de se lamenter…
 
Les révélations, les soupçons et l’enquête concernent le Comité Nobel qui attribue les prix Nobel de médecine ainsi que la firme Astra Zeneca, qui tire elle aussi un grand profit commercial de l’attribution du prix à Harald zur Hausen.

Cela peut paraître étonnant au premier abord, mais nous verrons qu’elle perçoit des royalties pour des brevets et des droits de licence cédés aux firmes Merck, Sanofi Pasteur MSD et CSL, qui produisent et commercialisent les deux vaccins anti HPV : Gardasil et Cervarix. Comme nous l’apprend le journal allemand Die Tageszeitung (voir ici), Astra Zeneca reconnaît avoir perçu à ce titre 236 millions de dollars rien qu’en 2007.
 
Remarque préliminaire
 
Une fois que les journaux allemands se sont emparés de la nouvelle, c’en était fini de la tranquillité de l’affairisme médico-pharmaceutique à la sauce Nobel. Surtout compte tenu de la controverse qui fait rage en Allemagne quant à l’utilité, à l’efficacité et aux effets secondaires du Gardasil. Controverse qui traduit l’excellent travail de la revue médicale indépendante Arznei-Telegramm, dont les analyses et les prises de position depuis 2007 ont retourné une bonne partie de l’opinion publique et des media allemands. Le manifeste signé par les 13 experts n’est que la dernière traduction de cette controverse et du rôle de cette revue, puisque deux de ses éditeurs font partie des signataires. (On attend toujours que son homologue français – la revue Prescrire – se réveille enfin et secoue les conflits d’intérêts français (voir cette note) et l’unanimisme médiatique qui ne laisse aucune place au débat).
 
Les sites critiques ont remarqué depuis l’annonce de l’attribution du prix Nobel à Harald zur Hausen que cette récompense tombe à pic pour sauver le Gardasil en Allemagne… La position officielle de l’Allemagne est particulièrement importante, puisque c’est l’origine même des vaccins et que le très officiel Centre de recherche sur le cancer est co-détenteur des brevets. On peut dire qu’il y a trois piliers qui doivent tenir pour assurer l’avenir du Gardasil et du Cervarix : les Etats-Unis, l’Allemagne et l’Australie, impliqués depuis le départ dans la conception de ces vaccins protégeant contre deux des 16 génotypes de papillomavirus humains à haut risque cancérigène.
 
J’essaierai d’expliquer pourquoi et comment la firme Astra Zeneca est impliquée dans tout ce qui touche au Gardasil et au Cervarix et pourquoi les conflits d’intérêts sont des tares héréditaires de ces deux vaccins, comme je le disais déjà dans une note parlant d’un autre volet de la conception du Gardasil aux Etats-Unis. Et j’arriverai enfin aux principaux canaux par lesquels transitent les liens financiers entre la Fondation Nobel et ses divers sous-comités impliqués dans le prix Nobel de médecine, puis aux réactions d’Astra Zeneca.

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