|
|
Notes du Navigateur:
14 Bis. Un Aperçu de la menace ultime
7 janvier 2012
John Lash
Traduction de Dominique Guillet.
Bonjour à l’équipage!
Bienvenus en 2012. Je ne sais pas comment cela s’est passé pour le reste de l’équipage, mais le lancement de cette année légendaire a été plutôt houleuse pour le navigateur. Vous vous demandez, peut-être, ce que je deviens et pourquoi les notes de navigation sont à ce point espacées depuis quelques mois...
Gardez à l’esprit que nous venons juste de sortir de la position stationnaire de l’apogée dans les viscères de Cétus aux alentours du 15 décembre. L’apogée lunaire se meut maintenant rapidement au travers du Bélier, contemplant le masque satanique de Cétus. La révélation de la source ultime du mal social, sur cette planète, est imminente pour le printemps 2012. La troisième guerre mondiale a déjà commencé, au cas où vous ne l’auriez pas remarqué.
Voilà pour les affaires déprimantes. Mais je peux vous garantir que le vaisseau majestueux ne risque pas de s’échouer. Par contre, votre navigateur peut friser le naufrage par moments. Sous le poids du chagrin, de la confusion, de la tourmente procédant de la perte de concentration.
Tout comme un canard au milieu d’un tsunami, je barbote au mieux de mes capacités.
Cette contribution n’est pas destinée à faire fonction d’une note normale de navigation. Federico Fellini, au sommet de sa carrière, réalisa un film qu’il appela “8 1/2” parce qu’il fut créé entre les sept films qu’il avait déjà produits et un huitième qu’il voulait faire ensuite. Ce fut un film fantastique. Un véritable chef d’oeuvre du cinéma du 20 ème siècle.
Ma dernière livraison fut, je pense, en date du 21 décembre 2011, le jour du solstice. Vous êtes donc en train de lire les Notes de Navigation 14 1/2. Je voulais présenter les Notes de Navigation 15 quelques jours après les 14. Mais j’ai commencé à les écrire durant le jaillissement du 2 janvier (28 ECL en alignement avec la Galaxie d’Andromède) et leur écriture est encore en cours. Elles contiennent quelques points majeurs d’orientation pour la correction. Certains d’entre vous se rappellent des deux défis majeurs se présentant au début de cette expérimentation, en synchronisme étroit avec le transit de l’apogée sur M31, la Galaxie d’Andromède. Ce moment dénote le rappel, par l’Eon Sophia, des conditions initiales de son scénario d’intervention pour l’expérimentation en laquelle nous nous trouvons présentement. Dans cette histoire, nous nous réalisons en tant qu’une des nombreuses souches de l’Anthropos mais située, de manière unique, dans un environnement planétaire en lequel demeure l’intelligence même qui a engendré notre identité génomique dans le coeur Pléromique, le centre de notre galaxie. L’acte suprême de la mémoire divine serait, pour Sophia, de se rappeler du pacte qu’elle a contracté avec l’espèce humaine au moment précis où nous-mêmes serions capables d’en imaginer la nature. Telle est l’opportunité capitale de 2012.
De plus, dans une voie parallèle ou simultanée, nous avons été impliqués dans une pratique d’imagination de groupe afin de détecter la menace ultime à l’expérimentation sur Terre. Le masque satanique de Cétus est une métaphore fondée sur un mythe astronomique et intimement corrélée au scénario d’Andromède, bien sûr. Afin de percevoir le mal ultime qui menace l’humanité sur Terre, nous devons voir le masque qu’il porte afin de le démasquer. Ce serait une erreur fatale de se méprendre quant à la source sociale et historique de ce mal. Cette erreur invaliderait virtuellement toute sorte de conclusion humaine harmonieuse pour ce chapitre de l’expérimentation, la fin du kalpa en 2216.
Je répète que ce ne sont pas les Archontes qui représentent ce mal et ils n’auraient pas pu être pris en considération dans le pacte originel que Sophia contracta avec l’humanité lorsqu’elle se trouvait avec les autres Eons dans le Plérome. L’intrusion archontique se manifesta ultérieurement, à la suite de son plongeon, selon des voies anormales et par inadvertance. Nombreux parmi vous auront déjà pris conscience que le risque ultime concerne la prédation intra-spécifique et non pas le facteur archontique - ce dernier ne fait que l’amplifier et occulter le problème de miroirs et de fumée. Cependant, quand bien même les psychopathes globaux et les prédateurs intra-spécifiques sont une menace gigantesque pour la survie de l’humanité, ils ne constituent pas le risque lui-même mais simplement les agents de la manifestation de ce risque. Il nous faut plonger notre regard dans les abysses putrides de la psyché du perpétrateur afin de percevoir ce qui, dans l’expérimentation, leur permet de tirer avantage de l’humanité et de réussir à perpétrer leurs tromperies meurtrières. Quoi que ce soit qui leur permette de l’accomplir, cela constitue la menace ultime. C’est ensuite qu’ils la mettent en oeuvre, sur le plan des comportements.
Prendre conscience des termes initiaux du pacte de Sophia (le mythe Androméden) et faire face à la menace ultime: ce sont les deux défis monumentaux que nous avons relevés au sein de cette expérimentation. Ces derniers temps, avec un timing aussi critique, vous vous demandez certainement ce qu’il advient du terton et comment je m’en sors avec toutes ces problématiques. Vous êtes sûrement enclins à attendre un peu plus de votre navigateur que l’équivalent de quelques cancans d’un canard barbotant sur la crête d’un tsunami. Et à propos, que fait ce canard au beau milieu d’un tsunami? Et bien, je n’ai jamais pu me résoudre à patauger dans la mare au coin du bois.
Matelots, matelotes, patience et gardez le cap. Comme elle le garde. J’ai besoin, maintenant plus que jamais, de votre soutien et de votre vigilance. J’ai quelques commentaires un peu pimentés à apporter sur ces deux thèmes, des commentaires qui ne furent jamais évoqués auparavant. Cela va bientôt venir. En attendant, je vous conseille de jeter un oeil à cette vidéo:
Et si vous avez une heure à consacrer à une étude plus exhaustive, essayez celle-là:
Je propose ces vidéos pour une étude de contexte concernant notre pratique de groupe destinée à détecter la menace ultime mais accompagnée, cependant, d’une sévère mise en garde. Comprenez bien que la problématique qui est ici évoquée dans le contexte spécifique de la cause Juive n’est qu’une illustration d’un syndrome auquel l’humanité, dans son entièreté, est encline. La signification suprême et unique de la question Juive repose en cela: elle offre une perception souveraine quant à la destinée de notre espèce dans son entièreté. La vision cruciale qu’il nous faut acquérir, concernant la menace ultime, transcende la condition spécifique de gens qui s’assignent une identité Juive (je parle d’auto-assignation parce que, en réalité, l’identité Juive est une identité auto-assumée et une fiction qui ne possède aucun fondement génétique, tel qu’il l’est souvent affirmé: ce sera bientôt l’objet d’une de mes causeries). L’importance ultime du rôle que les Juifs auto-désignés jouent dans l’histoire du monde repose sur un seul facteur: ce que les Juifs auto-assignés sont historiquement réputés faire, c’est ce que nous sommes tous enclins à faire. Ainsi, ils constituent en fait le cas spécifique et limité qui expose, qui extériorise le syndrome générique au travers duquel opère la menace ultime. Méditez sur cette syntaxe précise, si vous le voulez bien.
C’est pour cela que, en aucun cas, je prends les Juifs pour cible. Mais la détection de la menace ultime rend pertinent le recours à l’exemple Juif. Les Posajis eux-mêmes ne sont pas la source de la menace ultime tel qu’il l’a été souvent affirmé: le Protocole des Aînés de Sion, la conspiration Juive pour contrôler le monde, etc. Répétons-le: les Juifs ne constituent pas la source de la menace ultime mais ils sont très certainement les “marques” qui montrent là où nous devons la chercher.
Une “marque”, dans l’argot policier et criminel des USA, est une personne qui est la victime ciblée d’un charlatan: une dupe, le dindon de la farce. En anglais, ce terme désigne également le centre d’une cible. Dans révélation 13, la “marque de la Bête” utilise le mot Grec charagma, signifiant un signe ou une marque, comme un nombre ou une éraflure sur un mur. Mais la marque de la bête peut également signifier la cible ou l’objectif. Dans cette conception, le charagma n’est pas quelque chose d’imprimé par la bête pour identifier sa revendication ou sa possession - de même que l’on marque une bête au fer ou que l’on identifie un produit avec un logo. C’est plutôt ce que la bête a dans sa ligne de mire, tel un archer qui vise sa cible, le mille.
Considérez cette tournure de syntaxe imaginative comme le cadeau du terton pour vous tous à l’entrée de 2012. Il vous faut vous demander, si la marque signifie ce qui est ciblé, quelle est la nature de la grande bête de Révélation (mega therion) et quelle en est la cible. Indice: la somme de 6+6+6 est 18.
Ironiquement, les gens d’identité Juive auto-assignée (les Posajis) se sont depuis longtemps considérés comme une race mise à part du reste de l’humanité, favorisée par le Créateur d’une manière particulière et bénéficiant du privilège du rôle de démontrer les desseins de Dieu au monde entier. Israël serait un exemple et un modèle pour tous les autres peuples. Et en fait, d’une manière perverse, c’est exactement cela. Aucune condamnation particulière des Posajis n’est impliquée par l’orientation que je propose ici. Mais il est absolument nécessaire de se focaliser sur la question Juive afin de détecter la menace ultime à l’expérimentation divine sur cette planète. Grâce à l’exemple incarné par les Posajis, nous, en tant qu’espèce, pouvons percevoir le comportement le pire possible dont nous sommes capables. Ce comportement, instrument de la menace ultime, est ce qui doit être dévoilé et corrigé - quelque que soit la race ou la croyance ou l’idéologie de ceux qui l’incarnent.
En vous souhaitant un voyage sain et sauf pour l’année 2012.
John Lash. 7 janvier 2012.
Traduction de Dominique Guillet.
|
|
|