En conclusion, revenons au point initial de cet essai:

Il a été dit que le principal obstacle à l’acceptation de ce qui s’est réellement passé le 9/11/2001 procède du refus de croire que quiconque ait pu être aussi malfaisant.

Il existe un clip mémorable qui apparaît dans de nombreux documentaires du mouvement pour la vérité de 9/11. Ce clip vidéo montre le Président George W. Bush disant:

“Il est dur pour le peuple Américain de croire que quelqu’un puisse être aussi malfaisant que ceux qui ont commis ces attaques”.

Mais même cela n’est que de la spéculation qui va au-delà de la perspective de la Solution 9/11. Souvenez-vous que cette Solution ne dit rien au sujet de QUI l’a fait, seulement COMMENT ils l’ont fait. L’objection selon laquelle l’explication “sans avion” est la fabrication de dissidents, qui accuseraient à tort le gouvernement US de commettre des actes horribles à l’encontre de leurs propres citoyens, ne tient pas car la Solution concerne non pas QUI mais COMMENT.

Je suis certain que l’obstacle principal pour simplement prendre en considération, sans parler même d'accepter, la Solution 9/11, repose dans un déni. Mais non pas le refus de croire que quiconque pourrait être aussi malfaisant. Pas exactement cela, en fait. La Solution 9/11 reste aisément à la portée de quiconque connaît déjà, ou s’enquière de les connaître, les lois basiques du monde naturel (la conservation de l’inertie) et quelques faits corrélés (la vitesse des avions de ligne à une altitude extrêmement basse, la température à laquelle l’acier bouillonne et fond, etc). Il n’est pas nécessaire de croire au mal métaphysique pour percevoir la validité de la Solution 9/11. Elle se tient sur ses propres termes, scientifiquement parlant.

Les 9/11 Truthers qui embrassent la théorie “sans avion “possèdent d’amples preuves selon lesquelles des avions de ligne ne pouvaient pas causer les dommages qui leur sont imputés. Les tours ne pouvaient pas s’effondrer comme elles le firent selon la version officielle. Le Pentagone ne pouvait pas être impacté comme il le fut, en ne montrant qu’un trou de 5 mètres de diamètre, sans feu qui s’étende et sans que le toit ne s’écroule au moment-même de la percussion. L’écrasement dans le champ ne fut pas une plongée purement verticale et ne pouvait pas ne pas laisser des débris et des corps dans son sillage. L’évidence de la Solution 9/11 provient de pilotes, d’experts en architecture, d’ingénieurs en démolition contrôlée, de témoins directs, de vidéo-amateurs, de reporters, de pompiers et des premiers à réagir. Elle provient même des perpétrateurs eux-mêmes, par exemple, l’agent immobilier qui empocha 7 milliards de dollars d’assurances. Et elle provient des cerveaux globalistes, des conseillers des politiciens et des chefs d’état qui déclarent dans leur mémo stratégique (à savoir le manifeste neocon, Project for a New American Century) que les USA avaient besoin d’une opération sous faux pavillon pour réaliser leurs objectifs impérialistes au sein du pays, et dans le monde entier.

Les preuves physiques et émanant de témoignages validant la Solution 9/11 sont très claires, explicites et accablantes. La question est de savoir ce qui empêcherait toute personne rationnelle de la prendre en considération.

La Solution 9/11 constitue un challenge pour l’imagination humaine à deux égards: d’imaginer comment tout cela fut réalisé et d’imaginer la mentalité de ceux qui l’ont réalisé. C’est le second challenge qui est, de loin, le plus grand et assurément le plus décourageant. Toute personne intelligente peut imaginer (c’est à dire reconstruire et visualiser) comment 9/11 fut mis en place en examinant les preuves et en y intégrant le recours à la technologie de la réalité virtuelle, de la simulation et de la projection holographique. Une telle technologie existe sous une forme grossière et c'est ainsi connue du grand public. Imaginez qu’une telle technologie, de cette amplitude et de ce type, ait pu être tenue à l’écart de la connaissance publique sous couvert d’opérations militaires et de sécurité nationale.

Imaginer la mentalité de ceux qui exécutèrent 9/11 constitue une autre affaire, un challenge d’ordre supérieur.

Comme je l’ai affirmé en début de cet essai, je n’affirme pas que 9/11 fut le fait de puissances surnaturelles ou d’extra-terrestres en collusion avec les services secrets militaires. Cependant, j’affirme clairement que cela fut exécuté avec l’équivalent technologique d’une puissance surnaturelle. En particulier, le pouvoir désigné par les initiés Gnostiques sous le mot Copte HAL, la simulation. Arthur C. Clarke a bien stipulé que toute forme suffisamment évoluée de science est équivalente à de la magie. Pour moi, l’évidence démontre que les attaques de 9/11 furent exécutées non seulement par la simulation d’avions de ligne, en utilisant des missiles contrôlés à distance et déguisés holographiquement, mais par la couverture des événements par une autre simulation - à savoir les exercices de “jeux de guerre”, de répétitions d’attaques qui correspondaient aux attaques réelles et qui se déroulèrent simultanément. N’est ce pas fantastique? Et pourtant, les faits, qui ont même été admis par le gouvernement, démontrent que les événements accompagnant les attaques se déroulèrent de cette manière précise.

Retournons à l’objection: comment quelqu’un pourrait-il être aussi malfaisant? C’est une réaction parfaitement naturelle et prévisible venant d’êtres humains. J’y répondrai, de façon plus directe et plus explicite, dans un autre essai à venir mais pour l’instant, permettez-moi de vous raconter certains détails du mythe Gnostique des archontes:

La narration visionnaire de la déesse Sophia décrit l’origine de la Terre et de l’humanité. En tant que tel, c’est le seul mythe planétaire cohérent et intégral dans tout l’inventaire de la mythologie mondiale. Le mythe de Sophia contient un épisode qui décrit une espèce extra-terrestre cousine de l’humanité, appelée du nom d’archontes, “les gouverneurs, les autorités”. Le mythe stipule que les archontes opèrent avec une mentalité de ruche gouvernée par un souverain, diversement nommé Yaldabaoth, le “seigneur des clones”, Saklas “l’idiot” ou Samaël, “l’aveugle”. Considérant la dernière épithète, je suggère une application de ce mythe à la condition humaine: les êtres humains sont affligés d’un aveuglement moral vis à vis de l’autorité.

Il pourrait être interprété que les êtres humains sont la proie des archontes; cependant, les voyants Gnostiques n’ont jamais déclaré que cela fût le cas, littéralement. Dans une interprétation plus lucide, ce scénario mythique explique comment l’humanité permet que certains de ses membres deviennent la proie d’autres de ses membres: en s’aveuglant à l’autorité qui masque le mal. Le terme opérationnel dans ce cas est “permettre”. Dans le cadre du mythe Sophianique, je définis le mal comme une prédation intra-spécifique exécutée lors d’actes de nuisance sociale orchestrés grâce à un système d’autorité déléguée. La réalité sur cette planète est telle que non seulement certains des membres de l’espèce humaine commettent de tels actes maléfiques mais est telle également que d’autres le permettent. Ils le permettent de par leur aveuglement aux puissances à l’oeuvre derrière le masque de l’autorité. Ils sont complices dans le système d’autorité reléguée permettant à un petit nombre de membres de l’humanité d’agir à distance sur un très grand nombre de ses membres.

Dans mon ouvrage “Pas en son Image”, j’ai expliqué que l’histoire mène à une conclusion cauchemardesque tant que la race humaine reste captive de la collusion victime-perpétrateur. Le souverain aveugle des archontes, Samaël, représente le cerveau du mal archontique, l’archi-perpétrateur. Les textes Gnostiques le décrivent comme une figure dragonesque, un reptilien. Ce n’est pas un extra-terrestre demeurant dans l’espace extérieur mais la présence d’une inclination humaine à manipuler et à tourmenter autrui qui réside en toute personne. Le réflexe reptilien dans la nature humaine, enchâssé dans le complexe R, la structure cérébrale postérieure, est aveugle à toute finalité, choix ou objectif. Il ne connaît que les options de la fuite ou de l’attaque. Le cortex reptilien est cette partie du cerveau qui ne participe pas à l’intelligence spectaculaire de sélection et de réalisation de finalités qui est la marque exclusive de l’espèce humaine - notre héritage télestique conféré par Sophia, selon ce que raconte le mythe.

Le propos n’est pas ici de diaboliser les reptiles mais de mettre en valeur que le complexe reptilien du mental-corps humain est la signature organique de l’archétype du mal. Merveille des merveilles, c’est également l’instrument de l’illumination de la super-espèce, la kundalini, le pouvoir du serpent. Les initiés Gnostiques des Centres de Mystères étaient clairs quant au fait que la kundalini à la fois construit et favorise l’immunité humaine vis à vis des influences archontiques. Ce qui nous conduit vers le mal, la perpétration à l’encontre de notre propre espèce, possède également le potentiel de la libération transhumaine.

Les mêmes textes Coptes décrivent les sous-fifres de Samaël, les drones ou les clones du système archontique: ils sont dépeints comme des avortons, prenant la forme d’un foetus humain prématuré ou avorté. Dans la psyché moderne, cette image archétypique émerge dans le visage et le profil des extra-terrestres appelés les Gris, et qui sont considérés être des envahisseurs dans notre mental et sur la planète elle-même. Ces formes foetales, au visage d’insecte et aux grands yeux, sont aveugles. Elles ne peuvent rien voir du tout au travers de leurs yeux. Leurs yeux sont plutôt tels des panneaux solaires qui reçoivent et transfèrent des rayons de lumière en provenance du soleil. Leurs yeux ne voient pas mais enregistrent des signaux sur une fréquence télépathique. D’où la puissance captivante de ces Gris extra-terrestres dont témoignent de très nombreux humains.

Je soulignerais, sur la base de mes études Gnostiques et de la pratique d’un mysticisme expérimental donnant accès aux domaines extrasensoriels, que les archontes projettent une réalité virtuelle dans le mental humain au travers de fréquences subliminales, leur permettant d’apparaître et d'abducter des humains et de conduire sur eux des expériences, et ainsi de suite. En bref, ils simulent un événement dans le mental qui ne se déroule pas dans la réalité mais qui semble s’y dérouler. La découverte de la manière, dont les archontes opèrent, constitue un challenge équivalent et complémentaire à celui d’imaginer comment 9/11 fut accompli grâce à une technologie de simulation qui assume l’apparence d’un pouvoir surnaturel. Quelle que soit la manière dont opèrent les archontes extra-terrestres, l’archétype des faux-bourdons, des drones, est clairement un reflet de la conscience humaine: la représentation de l’aveuglement des victimes en collusion avec les perpétrateurs.

Les victimes des cerveaux orchestrateurs du mal social, telles que les attaques de 9/11, sont également aveugles et c’est leur aveuglement qui permet que ce mal existe, qu’il persiste et qu’il prévale.

Avec la Solution 9/11, il n’y a plus d’excuse à ce que les êtres humains restent aveugles à l’autorité qui occulte la perpétration du mal social. Au moment où le monde perçoit, un par un, COMMENT 9/11 fut exécuté, indépendamment de QUI et de POURQUOI, l’envoûtement sinistre du fascisme global se dissout en son coeur. Les chances de ce combat vont ensuite vers ceux qui s’éveillent simultanément en conscience et en perception et qui découvrent ce qu’est réellement la nature humaine:

Une espèce qui, divisée contre elle-même, ne peut pas survivre.

Une espèce qui, unie contre un ennemi commun à l’intérieur de sa propre communauté de vie, unie contre les prédateurs de ses propres membres, peut finalement évoluer vers le projet inspiré d’une société planétaire et éloigner le cauchemar globaliste initié par les tours en feu de 9/11.

John Lash. Andalousie. 22 février 2010.