Nanoparticules dans des vaccins non testés
contre la grippe porcine
William Engdahl
Article original en anglais, Nano Particles used in Untested H1N1 Swine Flu Vaccines, Part III: ‘It’s the vaccines, Stupid!, publié le 13 septembre 2009. Traduction : Pétrus Lombard
William Engdhal est Spécialiste de Géopolitique et de Géoéconomique: il écrit dans de nombreuses revues et publications, fait des conférence et est consultant en économie. Il est l'auteur de l'ouvrage "Pétrole, une guerre d'un siècle : l'ordre mondial anglo-américain" et de l'ouvrage "OGM semences de destruction: l'arme de la faim" aux Editions J. C. Godefroy.
Des nanoparticules ont été trouvées dans les vaccins homologués par les autorités gouvernementales responsables de la vaccination contre le présumé virus H1N1 de la grippe porcine. Depuis plusieurs années, les fabricants de vaccins expérimentent l'utilisation de nanoparticules comme moyen de « doper la charge » vaccinale. Il s’avère à présent que des vaccins, dont l’usage est homologué en Allemagne et dans d'autres pays européens, contiennent des nanoparticules sous une forme qui attaquerait les cellules saines et pourrait être mortelle.
En 2007, des chercheurs de l'École Polytechnique Fédérale de Lausanne ont annoncé dans un article de la revue Nature Biotechnology la mise au point d’une « nanoparticule pouvant fournir des vaccins plus efficaces, avec moins d'effets secondaires et à une fraction du coût des technologies vaccinales actuelles. » L'article se poursuit en décrivant les effets de leur percée : « Faisant à peine 25 nanomètres, ces particules sont si minuscules que, une fois injectées, elles circulent à travers la matrice de la membrane extracellulaire, directement vers les ganglions lymphatiques. En quelques minutes, elles atteignent une concentration des milliers de fois plus grande que dans la membrane. La réponse immunitaire peut alors être extrêmement forte et efficace. » (1)
Il n'y a qu'un seul petit problème avec les vaccins contenant des nanoparticules, ils peuvent être mortels ou du moins provoquer de graves problème de santé irrémédiables..
Les nanoparticules, promues par les grands médias comme une nouvelle révolution prodigieuse de la science, sont des particules fabriquées, immensément plus petites que les particules mortelles de l'amiante à l’origine de graves dégâts pulmonaires et de décès avant qu’elle devienne interdite. Ces particules de taille nanométrique (nm = 0,000.000.001 mètre) s’amalgament avec les membranes cellulaires de notre organisme et, selon des études récentes en Chine et au Japon, une fois introduites dans l’organisme, elles ne cessent de détruire les cellules. Dès qu’elles interagissent avec la structure cellulaire de l'organisme, elles ne peuvent plus être éliminées. La médecine moderne appelle par euphémisme ce phénomène, réaction infectieuses continue.
Depuis le scandale de l'amiante, il a été établi que les particules de la taille d'un millionième de mètre, à cause de leur force d'attraction énorme, pénètrent toutes les cellules, en détruisant tout ce qui entrent en contact avec elles. Les nanoparticules sont bien plus petites que les fibres d'amiante.
Les examens de Beijing confirment les effets mortels chez l'homme
Le fait que l'OMS, l'European Medicines Evaluation Agency, l’Institut allemand Robert Koch et d'autres organismes de santé permettraient aujourd'hui d’injecter à la population de nouveaux vaccins en grande partie non testés contenant des nanoparticules, en dit plus sur le poids du lobby pharmaceutique dans la politique européenne que sur la santé mentale ou l'intégrité morale des fonctionnaires chargés de la santé du public en général.
Le numéro de septembre 2009 du respecté European Respiratory Journal, a exposé le 19 août, et mis en ligne depuis le 21 août, un article évalué par les pairs intitulé, « L'exposition aux nanoparticules est rattachée à l’épanchement pleural, à la fibrose pulmonaire et au granulome. »
L'article décrit des examens effectués en 2008 à l'hôpital d’élite Chaoyang de Beijing (Pékin) sur sept jeunes femmes. Âgées de 18 à 47 ans, toutes les sept ont été exposées à des nanoparticules pendant 5 à 13 mois sur leur lieu de travail ordinaire. Toutes ont été admises à l'hôpital pour dyspnée et épanchement pleural ou liquide en excès autour des poumons, inhibant la respiration. Aucune des sept n'avait jamais fumé et elles n'appartenaient à aucun groupe à risque. Les médecins ont examiné avec soin toutes les possibilités et ont confirmé que les problèmes pulmonaires avaient une origine commune : l'inhalation régulière de nanoparticules dans leur usine. Elles avaient été exposées à des nanoparticules de polyacrylate.
Les examens ont confirmé que les nanoparticules avaient déclenché une réaction de « super-fusion » (super-meltdown) chez les patientes. En dépit de tous les efforts héroïques des médecins, deux des sept sont mortes de complications pulmonaires. (2)
Dans leur rapport, les scientifiques ont conclu par quelque chose de si alarmant qu'il est nécessaire de le citer en entier :
Des tests immunologiques, des examens bactériologiques, virologiques et des marqueurs tumoraux, une bronchoscopie, une thoracoscopie interne et de la chirurgie thoracique assistée par vidéo ont été pratiqués. Des études sur le lieu de travail, des observations cliniques et des examens des patientes ont été menées. La présence de polyacrylate, consistué de nanoparticules, a été confirmée sur le lieu de travail. Les examens pathologiques des tissus pulmonaires des patientes montraient une inflammation pulmonaire non spécifique, une fibrose pulmonaire et des granulomes de corps étrangers sur la plèvre. Grâce à la microscopie électronique en transmission, des nanoparticules ont été observées dans le cytoplasme et le nucléoplasme de cellules épithéliales et mésothéliales pulmonaires, mais elles ont aussi été localisées dans le liquide pleural. Ces cas suscitent l'inquiétude sur le fait que l'exposition de longue durée à certaines nanoparticules sans mesures de protection et de graves dommages pulmonaires chez l'homme. (3)
À ce jour, des études animales et des expériences in vitro ont montré que les nanoparticules peuvent provoquer des dommages pulmonaires et d'autres malignités chez l’animal, mais aucun rapport sur leur toxicité clinique chez l'homme n’avait été fait avant l'étude de Beijing.
L'étude de l'Hôpital Chaoyang de Beijing a confirmé de façon concluante que les nanoparticules provoquent aussi bien chez l'homme des dommages pulmonaires et d'autres malignités. À partir de là, quand deux des vaccins homologués, prévus pour une distribution de masse en Allemagne et ailleurs, contiennent des nanoparticules, la défaillance des responsables compétents de la santé publique et des fonctionnaires épidémiologistes à ordonner d’urgence le gel immédiat de la distribution d’un tel vaccin ne peut être assimilée qu’à de la négligence criminelle. Espérons que les autorités responsables réagiront à temps pour éviter l’éventualité d’une catastrophe sanitaire de plus grande envergure que les pires cas de grippe porcine signalés à ce jour.
Notes
(1) Les chercheurs en bio-ingénierie de l'École Polytechnique Fédérale de Lausanne ont développé et breveté une nanoparticule capable de fournir des vaccins plus efficaces, avec moins d'effets secondaires, et à une fraction du coût des technologies vaccinales actuelles. Voir :
www.azonano.com/nanotechnology%20news.asp?catid=13
(2) Song Y, Li X, Du X, L'exposition aux nanoparticules est liée à l’épanchement pleural, à la fibrose pulmonaire et à des granulomes, European Respiratory Journal, septembre 2009, 34(3): 559-567.
3 Ibid.
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