Grippe : quelques éléments
pour tenter de penser par soi-même
avant que d'autres ne le fassent pour vous
Jean-Pierre Petit
Lire dans le pdf, pages 6 et 7 un détail plus précis sur l'analyse de cette manifestation de la grippe durant l'hiver qui vient de sévir en Argentine au .. printemps 2009. La conclusion est que le virus H1N1 tend à remplacer le virus de la grippe saisonnière et à se transmettre très facilement chez l'homme, tout en étant particulièrement bénin.
A titre de conclusion le rapport (pdf) conclut que les populations de l'hémisphère nord devraient s'en tirer mieux que les années précédentes,ayant subi les attaques du virus de manière précoce.
L'OMS est-il un organisme indépendant ? Les personnalités qui poussent vers une vaccinations rapide et intensive sont-elles indépendantes des lobbies pharmaceutiques. En un mot : qui roule pour qui ?
Cette incitation à la panique semble dans l'air du temps. Après les événements du 11 septembre, les néoconservateurs américains ont tenté d'imprimer dans les consciences des gens le fait qu'il allait falloir se préparer à des nouveaux attentats, encore plus meurtriers. On parlait d'attentats avec des bombes sales, des armes bactériologiques, et même d'authentiques armes nucléaires, détenues par ... Al Qaïda.
Tout cela ne s'est pas produit, depuis huit ans.
Je pense à l'ouvrage de Naomi Klein : la Stratégie du Choc, qui développe la thèse selon laquelle des changements politiques majeurs, allant dans le sens d'une réduction drastique des droits des citoyens, étaient favorisés par des événements violents, laissant les populations en état de choc. Or, en dépit de la revendication légitime des proches des victimes de voir l'enquête réouverte, " l'effet 11 septembre " s'atténue. C'est Rumsfeld qui un jour avait déploré le fait que la vigilance des Américains s'atténuait au fil des ans. Or voici qu'avec cette perspective de pandémie grippale on voit poindre des instructions très proches d'une loi martiale. Je reçois des informations des DOM-TOM où des militaires français disent y recevoir des ordres sans équivoque : vaccinations forcées, mises sous les verrous de contestataires.
Tout va se jouer dans les mois, ou même semaines à venir. Vous avez vu les directives édictées par le tandem Bachelot - Hortefeux. Quand la campagne de vaccination aura démarrée, des équipes mobiles, s'affranchissant de tous les avis médicaux émanant de médecins de famille, opéreront directement dans les établissements scolaires. Ce qui revient à dire que si des parents éprouvent des doutes sur le caractère opportun de cette campagne et souhaite soustraire son ou ses enfants, elle devra carrément les garder à la maison !
Un vaccin un peu vite élaboré.
Page 5 : En 1976 des dizaines de millions de personnes ont été vaccinées sous le prétexte de la venue d'une pandémie à caractère cataclysmique, avec un vaccin fabriqué à la hâte. Cela a provoqué un déferlement de Syndromes de Guillain-Barré. C'est une maladie dégénérative atteignant le système neurologique, en particulier activant le système respiratoire.
Pour que ce dossier soit complet, il nous faut reprendre à partir de la page 7 du document pdf , rédigé par un médecin et abondamment documenté. Un vaccin a donc été élaboré en peu de mois, par plusieurs sociétés pharmaceutiques. Celui-ci contient une quantité d'antigène quatre fois moindre que le vaccin habituellement utilisé par la grippe saisonnière. Si ce vaccin contient moins d'antigène ( qui déclenchera la réaction immunitaire chez le sujet) c'est parce qu'il contient un adjuvant, le squalène, précurseur du cholestérol, qui a jusqu'ici été utilisé par les vétérinaires. Les concepteurs du vaccin prétendent que son action est d'accroître la production d'anticorps, pour une même quantité d'antigène ( de fragments de H et de N, spicules de surface du virus ).
On ignore quels peuvent être les effets secondaires, en particulier sur les femmes enceintes et les enfants.
Cet adjuvant n'a pas fait l'objet de tests valables sur des populations humaines. Testé en 2007-2008 sur 300 enfants de 3 à 9 ans (échantillon insuffisamment représentatif), appelé Pandemrix et fabriqué en Espagne, il a déclenché chez l'un d'eux, après les deux doses reçues, une maladie hépatique auto-immune ! Le squalène est une molécule qui existe déjà dans l'organisme humain, dans le foie. Le système immunologique régule le taux de squalène dans l'organisme. Le fait d'en introduire massivement, comme signalé par le professeur Zinkernagel, prix Nobel de médecine, dans le numéro 237 de la revue Pour la Science (1997), peut déclencher une réaction immunologique de type auto-immune.
Ailleurs, ce sont des chercheurs suédois qui ont montré que des injections de squalène intradermique avait provoqué chez des rats une polyarthrite rhumatoïde.
Et d'écrire page 10, je cite :
Les questions des responsabilités ne sont jamais évoquées. Mais l'Etat, tout en préconisant implicitement ce vaccin, s'est bien gardé de le rendre obligatoire, car sa responsabilité serait alors pleinement engagée, notamment vis à vis d'éventuelles victimes. Dès lors que les laboratoires ont été dégagés de l'obligation de faire des essais cliniques, ils ne pourront être tenus pour responsables d'effets secondaires graves. Les victimes se tourneraient alors vers l'Etat, qui les dirigerait vers ... l'OMS. Tout est en place pour une totale dilution des responsabilités.
Pour les laboratoires : des bénéfices sans précédents, sans devoir assumer la moindre responsabilité.
Vous lirez ces pages.
Toujours avec ce prétexte de l'urgence, on utilisera des flacons multidoses, moins chers à la fabrication, que les particuliers ne pourront acquérir et faire analyser, dont ils ne pourront apprécier le contenu. Cette présentation multidose " oblige " les société pharmaceutiques à utiliser un conservateur ... à base de mercure, le thiomersal, pourtant délaissé à cause d'effets secondaires importants, connus.
A titre de conclusion, deux cas de figure se présentent ( je cite ) :
- Soit on admet que ce virus pandémique est stable, et donc bénin ( confers les effets sur les pays de l'hémisphère sud ), et que vacciner les populations, en particulier les enfants, avec un vaccin non testé leur fait courir beaucoup plus de risques que cela ne peut leur apporter de bénéfices. Sans parler d'une autre conséquence possible : si d'aventure ce vaccin était efficace, ce qui n'est pas démontré, une vaccination massive créerait une pression de sélection susceptible de faire muter le virus. Et ceci sans que les populations soient durablement protégées.
- Soit le virus mute et le vaccin ne sert à rien.
|