Squalène:
le sale petit secret contre la grippe porcine est exposé!
Docteur Mercola
Article original en anglais, "Squalene: The Swine Flu Vaccine's Dirty Little Secret Exposed".
Selon Kathleen Sebelius, ministre du département de la Santé et des Services Humains des Etats-Unis (US Department of Health and Human Services), votre enfant devrait être la première cible pour les vaccinations de masse contre la grippe porcine lorsque l’école débutera cet automne [I]
Ceci est un postulat ridicule pour de nombreuses raisons, sans parler d’un risque extrêmement élevé.
En Australie, où la saison infernale a commencé, la ministre fédérale de la santé Nicola Roxon rassure les parents en disant que la grippe porcine n’est pas plus dangereuse que la grippe saisonnière : « La plupart des gens, y compris les enfants, feront l’expérience de très légers symptômes et récupèreront sans aucune intervention médicale », dit-elle. [II]
Le spécialiste en immunisation basé à Sydney, Robert Booy, prédit que la grippe porcine pourrait être fatale à environ deux fois plus d'enfants au cours de l'année que la grippe ordinaire. Booy estime que les enfants de 10 à 12 ans pourraient mourir du virus H1N1, comparativement aux cinq ou six décès dus à la grippe ordinaire que l’on voit chez les enfants durant une année moyenne en Australie. [III] « Soignez la maladie, tuez le patient »
Moins de 100 enfants aux Etats-Unis meurent chaque année du virus de la grippe saisonnière. [IV] Si nous avons recours aux mathématiques de l'Australie, une estimation très approximative serait que 100 autres enfants pourraient potentiellement mourir de la grippe porcine aux États-Unis dans les prochaines années.
Si les enfants constituent la première cible aux Etats-Unis selon Sebelius, cela signifie que nous sommes sur le point d’injecter à environ 75 millions d’enfants un vaccin à suivi rapide et qui contient de nouveaux adjuvants, y compris le dangereux squalène, afin d’éviter peut-être 100 morts.
Je ne suis pas en train de négliger la tragédie de la perte de même un seul enfant en raison d’une maladie comme le virus de la grippe H1N1. Mais il ne faut pas y avoir de discussion quant au fait qu’une vaccination massive et inutile de millions d’enfants avec un vaccin qui contient un adjuvant connu pour provoquer une foule de maladies auto-immunitaires débilitantes est un plan imprudent et dangereux.
Pourquoi les vaccinations sont-elles dangereuses ?
L'intention présumée d'une vaccination est de vous aider à construire une immunité contre les organismes potentiellement nuisibles qui causent un mal et la maladie. Toutefois, le système immunitaire de votre corps est déjà conçu pour effectuer cela, en réponse aux organismes qui envahissent votre corps naturellement.
La plupart des organismes qui provoquent les maladies entrent dans votre corps par les muqueuses du nez, par la bouche, par le système pulmonaire ou par votre tube digestif - par le biais d'une injection.
Ces muqueuses possèdent leur propre système immunitaire, appelé le système immunitaire IgA. Il s'agit d'un système différent de celui qui est activé lorsqu'un vaccin est injecté dans votre corps.
Votre système immunitaire IgA est la première ligne de défense de votre corps.Son travail consiste à lutter contre l’invasion des organismes à leur point d’entrée, réduisant , ou même éliminant, le besoin d’une activation du système immunitaire de votre corps.
Quand un virus est injecté dans votre corps dans un vaccin, et en particulier en combinaison avec un adjuvant immunitaire comme le squalène, votre système immunitaire IgA est contourné et le système immunitaire de votre corps passe à la vitesse supérieure en réponse à la vaccination.
Injecter des organismes dans votre corps pour provoquer l’immunité est contraire à la nature, et la vaccination comporte un potentiel énorme pour causer de sérieux dommages à votre santé. Et comme si les vaccins n’étaient pas suffisamment dangereux seuls…
... Imaginez-les munis d’un turbo.
Le principal ingrédient d’un vaccin contre est, soit des virus qui ont été tués, soit des virus vivants qui ont été atténués (affaiblis et rendus moins nocifs).
Les vaccins contre la grippe peuvent aussi contenir un certain nombre de substances chimiques toxiques, y compris de l’éthylène glycol (antigel), du Formaldehyde, du Phenol (acide carbolique) et même des antibiotiques comme le Neomycine et le Streptomycine. E plus des virus et autres additifs, de nombreux vaccins contiennent également des adjuvants immunitaires comme l’aluminium et le squalène.
Le but d'un adjuvant immunitaire qui est ajouté à un vaccin est de renforcer (munir d’un turbo) votre réponse immunitaire à la vaccination. Les adjuvants pour effet de faire sur-réagir votre système immunitaire face à l'introduction de l'organisme contre lequel vous êtes vacciné.
Les adjuvants sont censés faire en sorte que le travail soit effectué plus rapidement (mais certainement pas de façon plus sûre) , ce qui réduit la quantité du vaccin requise pour chaque dose administrée par individu. Moins de vaccin requis par personne signifie davantage de doses individuelles pour les campagnes de vaccination de masse . Et comme par hasard, c’est exactement l’objectif du gouvernement et des compagnies pharmaceutiques qui sont prêts à tirer des millions de leurs vaccins.
Y aurait-il des adjuvants immunitaires dans les vaccins contre la grippe porcine ?
Le gouvernement américain a conclu des contrats avec plusieurs sociétés pharmaceutiques afin de développer et de produire des vaccins contre la grippe porcine. Au moins deux de ces entreprises: Novartis et GlaxoSmithKline, utilisent un adjuvant dans leurs vaccins contre le H1N1.
Quel est cet adjuvant ? Le Squalène
Selon Meryl Nass, MD (medical director), qui est une autorité sur le vaccin contre l'anthrax! "Une nouvelle caractéristique de ces deux vaccins contre le H1N1 qui sont en train d’être élaborés par les sociétés Novartis et GlaxoSmithKline est l'ajout d'adjuvants contenant du squalène afin d'accroître l'immunogénicité et de réduire considérablement la quantité d'antigène viral nécessaire. Ceci se traduit par une production beaucoup plus rapide des quantités de vaccin désirées."[V]
L’adjuvant au squalène propre à Novartis contre le H1N1 se nomme le MF59 . Celui de Glaxo l’ASO3. Le MF59 doit encore être approuvé par la FDA pour son utilisation dans tout vaccin américain, malgré ses antécédents d'utilisation dans d'autres pays.
Selon le Dr. Nass, il n'existe que trois vaccins utilisant un adjuvant au squalène approuvés. Aucun de ces trois vaccins n’est approuvé pour une utilisation aux Etats-Unis.
Ce que le squalène fait aux rats
Il a été prouvé que la vaccination d’adjuvants à base d’huile comme le squalène génère des réponses immunitaires concentrées et soutenues au cours de longues périodes de temps. [VI]
Une étude datant de l’an 2000 et publiée dans l’American Journal of Pathology (journal américain des pathologies) a démontré qu’une seule injections de l’adjuvant squalène chez les rats déclenchait "une inflammation chronique du système immunitaire, liée à l’immunité et spécifique aux articulations", aussi connue sous le nom de polyarthite rhumatoïde [VII]
Les chercheurs ont conclu que l'étude soulevait des questions concernant le rôle des adjuvants dans les maladies inflammatoires chroniques.
Ce que le squalène fait aux humains
Votre système immunitaire reconnaît le squalène comme une molécule d’huile native de votre corps. On le trouve dans votre système nerveux et dans votre cerveau. En fait, vous pouvez consommer du squalène dans l'huile d'olive et non seulement votre système immunitaire reconnaîtra celui-ci, mais vous profiterez aussi des avantages de ses propriétés antioxydantes.
La différence entre le « bon » et le « mauvais » squalène est la voie par laquelle il entre dans votre corps. L’injection est une voie d’entrée anormale qui incite votre système immunitaire à attaquer tout le squalène qui se trouve dans votre corps et pas seulement l’adjuvant du vaccin. Votre système immunitaire tentera de détruire la molécule partout où il la trouve, y compris dans les endroits où elle se rencontre naturellement, et où elle est vitale à la santé de votre système nerveux. [VIII]
Les anciens combattants de la guerre du golfe souffrant du syndrome de la guerre du golfe (Gulf War Syndrome ou GWS) avaient reçu des vaccins contre l’anthrax qui contenaient su squalène. [IX] Le MF59 (l’adjuvant au squalène de Novartis) était un ingrédient non autorisé dans les vaccins expérimentaux contre l’anthrax et a depuis été lié aux maladies auto-immunes dévastatrices dont souffrent d’innombrables vétérans de la guerre du golfe. [X]
Le Département de la défense a fait toutes les tentatives possibles afin de nier que le squalène était en effet un contaminant ajouté dans le vaccin contre l'anthrax administré au personnel militaire déployé et non déployé - durant la guerre du golfe Persique -, ainsi qu’aux participants au plus récent Anthrax Vaccine Immunization Program (programme d’immunisation contre l’anthrax via un vaccin ou AVIP).
Toutefois, la FDA découvrit la présence de squalène dans certains lots de produits de l’AVIP.Un test fut développé pour détecter des anti-corps anti-squalène auprès de patients atteinst du syndrome de la guerre du golfe, et un lien clair a été établi entre le produit contaminé et tous ceux qui souffrent du syndrome de la guerre du golfe avaient été injectés avec le vaccin contenant du squalène.
Une étude menée à la Tulane Medical School et publiée dans le numéro de Février 2000 de la revue Experimental Molecular Pathology (pathologie moléculaire expérimentale) inclut ces étonnantes statistiques:
"... La grande majorité (95%) des patients ouvertement malades et qui ont déployé le syndrome de la guerre du Golfe GWS possédaient des anticorps anti-squalène. Tous (100%) les patients atteints du syndrome de la guerre du Golfe vaccinés pour leur service durant les opérations Desert Shield/Desert Storm (Bouclier du désert/Tempête du désert), qui n'ont pas été déployés, mais qui montraient les mêmes signes et symptômes que ceux qui ont été déployés, avaient des anticorps anti-squalène.
En revanche, aucun (0%) des anciens combattants déployés durant la guerre du Golfe Persique et ne présentant pas de signes et symptômes du syndrome de la guerre du Golfe ne possède d’anticorps anti-squalène. Ni les patients ayant une maladie idiopathique auto-immune ni ceux présentant des contrôles sains n’avaient dans leur sérum sanguin des anticorps anti-squalène détectables. La majorité des patients présentant des symptômes du syndrome de la guerre du Golfe avaient dans leur sérum sanguin des anticorps anti-squalène. » [XI]
Selon le Dr Viera Scheibner, Ph.D., un ancien scientifique en recherche fondamentale pour le gouvernement de l'Australie:
« ... cet adjuvant, le squalène, a contribué à la cascade de réactions appelée « Syndrome de la geurre du golfe », documentée chez les soldats impliqués dans la guerre du golfe. Les symptômes qu’ils ont développés comprenaient de l’arthrite, de la fibromyalgie, de la lymphadenopathie, des éruptions cutanées photosensibles (…) de la fatigue chronique, des maux de tête chroniques, des pertes de poils corporels anormales, des lésions cutanées ne guérissant pas, des ulcères aphteux, des étourdissements, de la faiblesse, des pertes de mémoire, des convulsions, des changements d’humeur, des problèmes neuropsychiatriques, des effets anti-thyroïde, de l’anémie, une élévation de l’ESR (Erythrocytes), du lupus erythemateux disséminé, de la sclérose en plaques, de la SLA (sclérose latérale amyotrophique), le phénomène de Raynaud, le syndrôme de Sjorgreen, de la diarrhée chronique, des sueurs nocturnes et des fièvres de bas grade ». [XII]
Le suivi post- vaccination pourrait aussi bien être non-existant.
Il n’y a pratiquement pas d’élément scientifique pour soutenir la sécurité des injections de vaccin sur votre santé à long terme ou sur la santé de vos enfants.
Les études de suivi durent moyenne deux semaines, et cherchent seulement les blessures et les maladies flagrantes.
Les troubles de l’auto-immunité, comme ceux qui ont été observés dans le syndrome de la guerre du Golfe prennent souvent des années à diagnostiquer en raison de l'imprécision des premiers symptômes. Des plaintes comme des maux de tête, de la fatigue et des douleurs chroniques sont les symptômes de différents maux et les maladies.
Ne retenez pas votre souffle en attendant que les fournisseurs et les promoteurs des vaccins se penchent sérieusement sur les conséquences que leurs campagnes de vaccination causent sur la santé à long terme.
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