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Silence, on vaccine, le DVD
 

Un film de Lina Moreco

Ce film de Lina B Moreco est maintenant disponible en DVD à l'Office National du Film.

Le A/H1N1, la pointe de l’iceberg

Sommes-nous entrain de laisser  une industrie prendre possession de notre santé via les vaccins ? .

Il y a quelques mois, la grippe pandémique H1N1 nous était annoncée comme dévastatrice.  La mort nous attendait tous et chacun. D’abord il y a eu vent de panique télévisuelle et médicale, mais comme rien ne se produisait, il y a eu questionnement et réflexion sur cette grippe et sur le vaccin qui en découlerait.

C’est Marc Gentilini, ancien directeur de la Croix rouge, qui a le mieux  défini cette pandémie annoncée : C’est une pandémie de l’indécense  a t-il dit lors d’une entrevue récente.   Effectivement,  il a raison.  Nous sommes devenus les pantins d’une désinformation et d’un manque total de rigueur  de la part d’une industrie et des gouvernements qui s’éloignent totalement des vrais priorités de santé de part le monde.

Plusieurs journalistes pensent comme lui et des articles émergent partout dans le monde, jusque dans les revues et les journaux les plus prestigieux ou les plus sérieux.  Le débat est maintenant ouvert.  Du presque jamais vu. Comme société nous en bénéficions déjà ; le concept de Vaccin-Dieu, sorte de  foi aveugle qui méprise ceux et celles qui n’ont pas la foi  vaccinale, s’effrite un peu  plus à tous les jours.  Nous voyons l’industrie et les profits qui se cachent dans  le vaccin.   C’est extrêmement important, car  de l’année 2004 à 2007 , pendant que j’effectuais ma recherche pour  mon documentaire SILENCE, ON VACCINE  , trois (3)  vaccins ont été ajouté au calendrier des enfants et  un (1) vaccin au calendrier des adolescentes.  Aucun  débat social d’envergure n’a vu le jour.   Dans une certaine forme de  silence, on a dit oui aux vaccins suivants : 

- ROTAVIRUS /Contre la diarhrée. Donné aux enfants. Maladie bénigne.

- VARILIX /Contre la varicelle. Donné aux enfants. Maladie bénigne.  

- GARDASIL/Cancer du col de l’utérus : Donné aux jeunes filles.  

- FLURIVIN /Contre la grippe, Donné aux enfants afin de protéger les adultes.

- L’HÉPATITE B – AUX NOURISSONS (en étude) / Maladie qui se transmet sexuellement.

Alors, quand le milieu de la santé à découvert l’existence de mon documentaire,  il y a eu empressement pour dire haut et fort, que celui-ci était un tissus de mensonges et qu’il n’y avait pas d’effets secondaires à la vaccination.  Il ne fallait surtout pas nuire à l’effort vaccinal déployé par les agences de santé qui approuvent un nouveau vaccin à chaque année.  Pour ces gens, les vaccins ne contiennent pas de  produits toxiques en quantité assez suffisante pouvant nuire à notre santé. Par le fait même on nous dit que le  vaccin contre le  A/H1n1, qui contient du mercure et autres produits toxiques , sera bon pour nous.  

Heureusement, tout le monde n’y croit plus. 

Avec la grippe  A/H1N1, le débat arrive enfin.  Nous développerons,  je le souhaite,   un regard plus critique, un éveil obligé, et regarderons d’un peu plus près ce qui se cache sous la pointe de l’iceberg .  

Silence, on vaccine, le DVD 

Depuis leur mise au point au début du vingtième siècle, les vaccins constituent une formidable réussite médicale et scientifique. Aujourd’hui perçue comme une incontournable nécessité, la vaccination nous est si familière que ses risques potentiels sont peu souvent évoqués.

Pourtant, l’enjeu est loin d’être négligeable. Selon les recommandations des Agences de Santé, l’enfant nord-américain reçoit environ 48 doses de 14 vaccins différents avant l’âge de six ans, soit le double du nombre prescrit 25 ans auparavant. Malgré cette croissance exponentielle, peu d’études indépendantes de l’industrie pharmaceutique sont réalisées sur leurs effets secondaires à long terme. Une situation préoccupante quand on connaît le nombre élevé des substances toxiques qui entrent dans leur composition. Le mercure et l’aluminium ne sont que quelques-uns de ces éléments nocifs, présents en quantités substantielles dans certains vaccins couramment administrés.

Inquiets, plusieurs pédiatres et scientifiques sonnent l’alarme. Des recherches en cours semblent indiquer que la vaccination serait directement responsable de désordres immunitaires ou neurologiques chez certaines personnes prédisposées génétiquement ou neurologiquement à mal réagir aux composantes des vaccins. Autisme, sclérose en plaques, syndrome de Guillain-Barré, myofasciite à macrophages, encéphalites, paralysies, neuropathies et autres; la liste des maladies répertoriées indique bien la gravité de la situation.

En dépit de ces constatations, l’industrie pharmaceutique et les autorités gouvernementales refusent d’y voir un problème sérieux. S’appuyant sur des études sommaires, dont certaines datent de la fin des années 1920, ils rejettent d’emblée tout lien de cause à effet. Quand on sait que l’ajout d’agents de préservation comme le thimérosal (mercure) contribue à réduire les coûts de production, la réaction de l’industrie pharmaceutique laisse pour le moins perplexe. Préférant ne pas remettre en question un système qui a fait ses preuves, une majorité des membres de la profession médicale rejette toute allusion au potentiel de toxicité des vaccins.
Interpellés par les nombreux cas d’autisme observés dans leur pratique, certains médecins et chercheurs jugent cependant qu’il faut pousser les recherches plus loin. À l’image du Britannique Andrew Wakefield qui a subi les foudres de son association pour avoir poursuivi ses investigations sur les liens probables entre la vaccination et certains cas problématiques.

Plusieurs témoignages abordent aussi la question de la reconnaissance des victimes, notamment ceux d’Aurélie (jeune Française sérieusement diminuée par la sclérose en plaques après avoir reçu le vaccin contre l’hépatite B à l’âge de 14 ans) et de son compatriote Yves (atteint d’une maladie neuro-musculaire dégénérative le myofasciite à macrophages, qui s’est déclarée après l’administration d’un vaccin contre l’hépatite A), ou encore ceux de nombreux parents qui ont vu leurs enfants régresser après une séance de vaccination. En France et aux États-Unis, des groupes ont été créés pour alerter l’opinion publique et organiser des recours en justice afin de pouvoir offrir une compensation aux victimes. Les gouvernements ont aussi mis en place des Programmes d’indemnisation des victimes de la vaccination. Malheureusement, les tribunaux tranchent rarement en leur faveur.

Avec Silence…on vaccine, Lina B. Moreco trace un portrait inquiétant de cette problématique qui touche l’ensemble de la société, dénonçant l’immobilisme des autorités de santé publique. Tourné au Québec, en France et aux États-Unis, son documentaire souligne l’ampleur du phénomène. Outre les victimes, les familles et les citoyens, des chercheurs de haut niveau donnent leur avis sur la question et aident à démystifier les processus complexes régissant les effets secondaires de la vaccination.

Un nombre sans cesse croissant de vaccins sont désormais fortement recommandés au Québec, sinon rendus obligatoires aux États Unis et en France, sans une évaluation précise des risques potentiels. Nous donne-t-on toute l’information nécessaire lorsque vient le temps d’être vacciné où lorsqu’un de nos enfants doit l’être? Nous offre-t-on vraiment la possibilité de faire un choix éclairé? La mère d’un enfant normal devenu autiste après une séance de vaccination résumera bien le paradoxe : « Aujourd’hui, je me dis que je n’aurais jamais dû écouter le médecin quand il m’a dit que mon enfant avait besoin d’être vacciné. Mais le médecin lui-même pensait que c’était pour le mieux… »

Silence…on vaccine met en lumière la nécessité de soutenir des recherches pour mieux comprendre les effets à long terme des vaccins et ainsi mieux protéger la minorité à risque. Ce documentaire profondément humain soulève une question aussi fondamentale que troublante : combien de personnes peut-on accepter de sacrifier au nom du bien commun?