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Un projet mondial en vue de préparer les citoyens

aux dangeureuses vaccinations 

Stephen Lendman

Article original en anglais, Readying Americans for Dangerous, Mandatory Vaccinations, publié le 10 juin.

Source: Mondialisation.ca

Il est inconcevable de constater que l’OMS, les Etats-Unis, ainsi que les autorités d’autres pays répandent mensonges, tromperies et hystérie pour permettre aux grandes compagnies pharmaceutiques la diffusion de dangereux vaccins et autres médicaments auprès de personnes qui ne se doutent  de rien, ouvrant peut-être ainsi la porte à la maladie et à une mort précoce….  
 
Gary Matsumoto est un journaliste new-yorkais qui fut plusieurs fois récompensé pour ses articles d’investigation. Dans son ouvrage de 2004 : «  Vaccin A : l’expérience secrète du gouvernement tue nos soldats et explique pourquoi les GIs  ne sont que  les premières victimes». Il conteste les résultats de l’IOM et marque son désaccord au démenti du Pentagone au sujet du syndrome de la guerre du Golfe.   
 
Analysant le contexte obscur dans lequel les vaccinations se sont développées, il a fini par découvrir que les médecins et les scientifiques de l’armée avaient réalisé des expériences médicales secrètes sur des citoyens américains en violation du code de Nuremberg et de l’éthique médicale la plus fondamentale. Concernant l’expérimentation sur des êtres humains, le code de Nuremberg a établi des normes précises qui ont été reprises dans les directives de l’éthique médicale.

Ces normes exigent:
 
* Le consentement volontaire des sujets, et ce, en dehors de toute forme de coercition, fraude ou duperie, et avec la pleine connaissance des risques encourus.   
 
* Les expérimentations devraient éviter  «  toute forme de souffrance physique, psychique inutile, ainsi que tout dommage quel qu’il soit. ».   
 
* Les expérimentations ne devraient jamais être entreprises si, à priori, il existe des raisons de croire que des dommages, infirmités ou la mort pourraient s’ensuivre.  
 
* Les risques ne devraient jamais être disproportionnés par rapport à l’importance du problème humanitaire à résoudre.   
 
-* Les expérimentations devraient immédiatement prendre fin s’il existe des raisons de croire que des dommages, des infirmités ou la mort pourraient s’ensuivre.
 
Vaccin A, L'expérience cachée du gouvernement qui tue nos soldats et pourquoi les GI's ne sont en fait que les premières victimes, Gary Matsumoto.
 
Selon Matsumoto, le Pentagone a violé ces normes, trahi les troupes, ainsi que le devoir fondamental des chefs militaires et civils sensés protéger leurs hommes. Depuis au moins 1987, le développement de la guerre biologique a détruit le bien-être de dizaines de milliers de GI’s utilisés comme cobayes humains dans les programmes de vaccinations expérimentales non autorisés contre l’anthrax contenant du squalène – un adjuvant huileux (destiné à augmenter l’immunité). Il est connu depuis des décennies que cet adjuvant peut provoquer des maladies auto-immunes graves chez les animaux de laboratoire. Il fut cependant utilisé (involontairement) sans que soient révélés ses effets néfastes sur la santé des personnes.   
 
Matsumoto a écrit :
 
Les expérimentations mentionnées dans ce livre et réalisées en dehors de toute éthique n’ont jamais cessé. Il ne fut nullement envisagé de les limiter parce que les exigences de la sécurité nationale les mettaient à l’abri de toute enquête et excluaient toute forme de responsabilité.   
 
Quand Michael Whitehouse de la Faculté de médecine UCLA et Frances Beck ont injecté du squalène combiné à d’autres substances à des rats et des cobayes avant 1970, peu de ces substances huileuses avaient autant la capacité de provoquer de l’arthrite et de la sclérose en plaques chez les animaux. 
 
En 1999 l’immunologiste Johnny Lorentzen de l’Institut suédois Karolinska a montré que l’injection de molécules apparemment banales comme le squalène et que l’on trouve dans le corps peut stimuler une réponse immunitaire auto-destructrice.
 
D’autres recherches montrent que le squalène en tant qu’ingrédient expérimental des vaccins contre l’anthrax provoque des maladies auto-immunes dévastatrices et des décès chez de nombreux vétérans de la guerre du Golfe, aux Etats-Unis et en Australie, alors même qu’il continue à être utilisé pour la mise au point de nouvelles vaccinations dans les laboratoires…   
 
Il existe une étroite relation entre les maladies des animaux induites par le squalène et celles qui sont observées chez les humains auxquels ce produit est injecté : rhumatisme articulaire, sclérose en plaques et lupus érythémateux. ( «  Il existe au minimum 24 études scientifiques (peer-reviewed) de dix laboratoires différents aux Etats-Unis, en Europe, en Asie et en Australie qui documentent le développement de maladies auto-immunes chez des animaux soumis à des injections comportant des adjuvants à base de squalène . (1)   
 
Le Dr V.Scheibner qui a mené des recherches poussées sur les adjuvants des vaccins écrit : «  le squalène a produit une cascade de réactions telles que : le syndrome de la guerre du Golfe, l’arthrite, la fibromyalgie, la lymphadénopathie, la fatigue chronique, les céphalées chroniques, la perte anormale de cheveux, des lésions de la peau qui ne guérissent pas, des ulcères, des vertiges, des pertes de mémoire, de modifications de l’humeur, des problèmes neuropsychiatriques, des troubles thyroïdiens, de l’anémie, le lupus érythémateux, la sclérose en plaques, le syndrome de Sjorgen, de Raynaud, la diarrhée chronique, les transpirations nocturnes, de la fièvre (peu élevée)…   
 
Le livre de Matsumoto (2) fait état de nombreuses études de cas de GIs atteints de l’un ou plusieurs symptômes relevés ci-dessus, de leurs effets dévastateurs, ainsi que des réactions du gouvernement américain refusant de reconnaître leur existence ou la relation existant entre ces maladies et les vaccinations…   
 
Selon Matsumoto les adjuvants à base de squalène constituent l’ingrédient principal pour une nouvelle génération de vaccins destinés à l’immunisation de masse partout dans le monde, et ce, malgré que les chercheurs de la Faculté de Médecine de Tulane et de l’Institut Militaire de Walter Reed ont démontré que le système immunitaire répond spécifiquement à la molécule de squalène.   
 
Le système immunitaire reconnaît le squalène comme une molécule propre au corps. On peut le trouver dans les genoux, le coude, le cerveau et tout le système nerveux. Mais quand cette molécule est injectée dans le corps, le système immunitaire intervient pour la détruire et pour l’éliminer. Ingérer et digérer le squalène ne pose absolument aucun problème, mais le fait de l’injecter galvanise le système immunitaire qui s’emploie à l’attaquer…   
 
Matsumoto dit que le squalène peut être considéré comme le déclencheur d’une authentique arme biologique. Les chercheurs soviétiques l’ont baptisé «bombe à retardement biologique!!!»… Matsumoto et le Dr Pam Asa doivent conclure que «ces types d’adjuvants (huileux) constituent l’arme chimique la plus insidieuse qui ait jamais été conçue».Ceci comprend également le squalène. Depuis les années ’80, les soviétiques savaient que ces produits pouvaient être employés comme armes chimiques.   
 
 Matsumoto explique que le véritable problème à propos de l’utilisation du squalène est qu’il imite parfaitement une molécule qui se trouve faire partie du corps ; c’est exactement la même molécule. Ainsi, ce que des scientifiques américains ont conçu comme un excitateur de l’immunité constitue  en fait une nouvelle nano-bombe susceptible de provoquer des maladies imprévisibles, débilitantes et chroniques. Quand le NIH a rétorqué que le squalène était sûr parce qu’il fait partie du corps, on peut affirmer que c’était l’exact opposé qui était vrai et évidement l’est toujours. C’est la présence naturelle du squalène dans le corps qui en a fait l’une des molécules les plus dangereuses qui aient jamais été injectées à un être humain. Le fait d’utiliser cette molécule dans les vaccins est tout simplement barbare et criminel….   
 
Il est fâcheux de constater que plusieurs vaccins actuellement à l’étude chez le NIH et associés contiennent du squalène sous une forme ou sous une autre.
 
Il y a du squalène dans les vaccins recombinants pour le HIV, la malaria, l’herpès, la grippe (y compris la grippe porcine), le cytomégalovirus, et le papillomavirus humain.
 
Certains de ces vaccins sont prévus pour des vaccinations de masse partout dans le monde. Cette possibilité devrait, à elle seule, terrifier tout un chacun pour l’amener à refuser n’importe quelle prescription de ces vaccins.   
 
Un autre problème est qu’il faut parfois des années pour pouvoir diagnostiquer un problème d’auto-immunité parce que les symptômes immédiats (maux de tête, douleurs articulaires…) sont parfois si vagues qu’ils peuvent facilement être attribués à d’autres causes.   
 
Depuis longtemps des experts ont considéré que les vaccinations ont toujours présenté suffisamment de dangers pour que l’on puisse les qualifier d’armes biologiques pour la simple raison qu’elles sont susceptibles de détruire la santé, endommager le système immunitaire et favoriser des maladies. La nouvelle solution de Big Pharma : des vaccins plus puissants, génétiquement modifiés et des médicaments susceptibles de nuire à ceux qui les prennent ou même susceptibles d’entraîner la mort, et ce, tout spécialement pour les personnes dont le système immunitaire est fragilisé.    

Matsumoto et d’autres chercheurs ont déclenché l’alarme pour avertir un maximum de personnes et leur conseiller d’éviter les poisons qui sont présentés comme des médicaments protecteurs. En fait ces produits profitent essentiellement aux compagnies qui les fabriquent et aux scientifiques qui en récoltent les royalties.   


Notes:

1. Flue Shots and the new adjuvants: Site web 1 / Site web 2

Gary Matsumoto: Vaccine A: The Covert Government Experiment That's Killing Our Soldiers--And Why GI's Are Only The First Victims